La porte fermé a clef,
Et le verrou enclenché,
Je fais couler l'eau,
Les volets sont clos,
Je glisse un pied,puis l'autre,
Au tour de mon corp abîmé,
Par ces défaite du passé,
Patiement je rêve,
Je revoix ces années qui m'achèvent,
Je tente en vain de me reconnaîte,
Avec délicatesse,
Agilité et allégresse,
Je prend cette fameuse lame,
Qui liberrera mon âme.
De mon sang la baignoire se rempli,
Plus que quelque minutes,je repensse a ma vie...
Le destin enfin,
Me tend la main.
Et c'est seulement quelques jours plus tard,
Qu'il verront a quel point j'en avait marre.
Et le verrou enclenché,
Je fais couler l'eau,
Les volets sont clos,
Je glisse un pied,puis l'autre,
Au tour de mon corp abîmé,
Par ces défaite du passé,
Patiement je rêve,
Je revoix ces années qui m'achèvent,
Je tente en vain de me reconnaîte,
Avec délicatesse,
Agilité et allégresse,
Je prend cette fameuse lame,
Qui liberrera mon âme.
De mon sang la baignoire se rempli,
Plus que quelque minutes,je repensse a ma vie...
Le destin enfin,
Me tend la main.
Et c'est seulement quelques jours plus tard,
Qu'il verront a quel point j'en avait marre.